Présentation de l'École du génie

L’École du génie constitue le creuset du génie militaire, réunissant les cadres des composantes combat, sécurité et infrastructure de l’armée de Terre et des armées. Maison mère du génie, soit environ 20 000 sapeurs, l’école prépare les jeunes officiers, sous-officiers, soldats et personnels civils à assumer d’emblée leurs prochaines responsabilités opérationnelles ou d’expertise au sein du ministère des Armées ou du ministère de l’Intérieur.

Pavillon Joffre de l'école du génie © armée de Terre-EG/Défense

Le pavillon Joffre est face à l'entrée principale de l'École du génie. Situé derrière la place d'arme, il est aujourd'hui destiné principalement à l'administration de l'école.

Audace, initiative et rapidité dans l'action

L’École royale du génie est née en 1748 de la volonté de former un véritable corps d’ingénieur du Roy tel que le maréchal de Vauban l’avait défini au siècle précédent. Après ses déplacements successifs et des évolutions, elle prend ses quartiers en 1945 à Angers pour devenir la maison mère de l’arme du génie.

Depuis le 1er juillet 2023, l’École du génie appartient au Pôle Formation de Tours (Indre et Loire), placée sous l’autorité organique de la Direction des Ressources Humaines de l'armée de terre (DRHAT).

Présentation de l'École du génie © armée de Terre-EG/Défense

Cette planche présente différents aspects du génie. De la gauche vers la droite :

  • Vue sur l'entrée de l'École du génie d'Angers.
  • Un char Leclerc descendant d'un PFM1.
  • Des sapeurs du 17° régiment du génie parachutiste de Montauban  en train de construire un pont "Bailey". - Photo : 20190905_PONT_BAILEY_17eRGP_106

Cette planche présente différents aspects du génie. De la gauche vers la droite :

  • Vue sur l'entrée de l'École du génie d'Angers.
  • Un char Leclerc descendant d'un PFM1.
  • Des sapeurs du 17° régiment du génie parachutiste de Montauban  en train de construire un pont "Bailey". - Photo : 20190905_PONT_BAILEY_17eRGP_106

Une intégration forte dans le tissu régional

Avec une présence importante de sapeurs, Angers est la capitale du génie.

L’École du génie participe pleinement à la renommée de la ville d’Angers, mais également au rayonnement universitaire. Forte de ses relations avec l’Université Catholique de l’Ouest (UCO), l’École Supérieure d’Électronique de l’Ouest (ESEO), l’École nationale supérieure des ingénieurs de l’infrastructure militaire (ENSIM), ou l’IRCOM (établissement d’enseignement supérieur), l’École du génie mène des échanges fructueux afin d’ajuster constamment ses formations et faire partager ses savoir-faire.

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