La bataille de Dantzig se déroule du 19 mars au 26 mai 1807. La place de Dantzig (Pologne) présente une menace considérable pour la Grande Armée en marche vers l’Est.

La ville est défendue par 14 000 Prussiens et 4 000 Russes. Le siège est confié au 10e corps d’armée du Maréchal Lefebvre comprenant 600 soldats du génie. Les sapeurs et les mineurs déploient tous les savoir-faire de l’art du siège : tranchées, destructions et assauts.

Dantzig capitule le 26 mai 1807. Napoléon Ier déclare à ses sapeurs : « Vous vous êtes couverts de gloire pour votre empereur et pour les mérites de votre arme. Pour ma revue, je veux que les bataillons du génie soient placés en tête des troupes et devant les drapeaux, et que l’on sache pourquoi je l’ordonne. Les sapeurs marchent en tête à l’assaut. Ils marcheront en tête à la ville ». Chaque année, toutes les unités du génie se réunissent à l’École du génie pour y célébrer leur fête d’arme.

Dantzig. La bataille de Dantzig se déroule du 19 mars au 26 mai 1807. La place de Dantzig (Pologne) présente une menace considérable pour la Grande Armée en marche vers l’Est.

La ville est défendue par 14 000 Prussiens et 4 000 Russes. Le siège est confié au 10e corps d’armée du Maréchal Lefebvre comprenant 600 soldats du génie. Les sapeurs et les mineurs déploient tous les savoir-faire de l’art du siège : tranchées, destructions et assauts.

Dantzig capitule le 26 mai 1807. Napoléon 1er déclare à ses sapeurs : « Vous vous êtes couverts de gloire pour votre empereur et pour les mérites de votre arme. Pour ma revue, je veux que les bataillons du génie soient placés en tête des troupes et devant les drapeaux, et que l’on sache pourquoi je l’ordonne. Les sapeurs marchent en tête à l’assaut. Ils marcheront en tête à la ville ». Chaque année, toutes les unités du génie se réunissent à l’École du génie pour y célébrer leur fête d’arme.

Le 8 août 1868, à Paris, un violent incendie se déclare au 134 rue Saint Antoine, dans le 4e arrondissement. Il s’agit d’un immeuble de cinq étages avec au rez-de-chaussée, une boutique.

Lorsque les pompiers de la caserne « Culture Sainte-Catherine » (renommée Sévigné) arrivent sur les lieux, l’escalier est une véritable fournaise rendant tout passage impossible.

De tous les étages proviennent des cris de détresse. Les locataires semblent condamnés. C’est alors qu’intervient le caporal François Thibault. Porté par son extrême courage et sa grande ténacité, il arrache successivement aux flammes 10 personnes en un temps record avec une échelle à crochets. Il les sauve d’une mort certaine, au péril de sa propre vie.

Le 14 août 1868, l’empereur Napoléon III le décore de la Légion d’honneur. « Sauver ou périr », telle est la devise des sapeurs-pompiers de Paris.